mardi 17 juin 2025
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Épargne : pourquoi investir dans l’or ?

Quand on cherche une alternative aux placements classiques comme l’assurance vie, l’immobilier, les livrets ou la Bourse, on se tourne vers l’or. D’ailleurs, avec les incertitudes économiques actuelles, investir dans ce métal précieux est une excellente idée, car c’est une valeur refuge, et les avantages de ce placement sont encore plus nombreux. Ci-après toutes les raisons qui font qu’un investissement dans l’or est judicieux.

Parce que c’est une valeur refuge

L’or est une valeur refuge, car il offre une sécurité en cas de krachs boursiers et de crises économiques. Un tel investissement limite ainsi les pertes des autres placements. Dans le même volet, ce métal précieux est également toujours à portée de main, car c’est physique. Ainsi, il est facile de le stocker et de le transporter. C’est un patrimoine que l’on garde chez soi à l’inverse de l’assurance vie ou du livret bancaire qui est détenu par un tiers. De plus, avec les autres placements, il y a des risques comme la faillite bancaire, le blocage, la limitation de retraits… L’or sauve si jamais l’une de ces situations arrive, mais aussi, en cas de coup dur.

Parce que c’est accessible à tous

L’or physique est facile à acheter. Quelques dizaines d’euros suffisent pour se lancer dans cet investissement, et ça permet de diversifier l’épargne. Tout le monde peut acheter des pièces d’or ou des lingots : employés, étudiants, cadre, retraités, séniors… Et encore, il n’est soumis à aucune taxe. Sa détention n’implique pas d’impôt sur le revenu. D’ailleurs, à la revente, il y a une exonération de taxe de 5 % à partir de la troisième année de détention. Aussi, il est facile de le revendre, car partout dans le monde, il a une valeur. Pour ça, il faut aller chez un spécialiste des métaux précieux comme ici. On peut vendre tout l’or ou une partie pour avoir des liquidités.

Parce qu’il faut diversifier son épargne

Pour la sécurité du patrimoine financier, il ne faut pas mettre tous les œufs dans le même panier, c’est d’autant plus important quand on sait que l’économie n’est pas prévisible. Donc, il faut penser à diversifier, ne pas mettre toute l’épargne sur des placements risqués, car en période de crise, il est possible de perdre de gros montants. De plus, à l’inverse des autres placements, il offre de meilleurs rendements quand les autres chutent. En effet, les agents économiques reportent leurs investissements sur les produits financiers qu’ils pensent être à l’épreuve des crises, et c’est le cas de ce métal précieux. C’est aussi pour ça qu’on le qualifie de valeur refuge. L’investissement dans l’or va donc limiter les pertes causées par les autres actifs financiers.

Parce que c’est facilement transmissible

investir dans l'or
Crédits : Pixabay

Quand on investit dans l’or et que l’on souhaite le transmettre, c’est simple et sans frais. Si c’est une donation du vivant, il est considéré comme un meuble. Donc, on peut le transmettre de main en main sans contacter un notaire, il suffit seulement de faire une déclaration auprès du centre des impôts. Les abattements sont fixés suivant le lien de parenté entre le donateur et l’acquéreur. Si c’est un héritage, il y a des règles de succession à suivre. L’abattement est le même que le précédent cas, sauf pour les successions entre époux ou partenaires de PACS ou auprès des petits-enfants et arrière-petits-enfants.

Valentin
Je m’appelle Valentin Marchand, j’ai 33 ans, et je raconte le Québec et le Canada parce que j’ai décidé de m’y enraciner.Je suis géographe de formation et guide-accompagnateur à temps partiel, installé à Montréal depuis bientôt dix ans. J’ai traversé des forêts boréales, arpenté les ruelles du Plateau sous la neige, accompagné des visiteurs dans des coins de pays où même Google hésite encore. Mais avant tout, je suis un amoureux des récits de territoire. Derrière les paysages, il y a toujours une histoire : économique, sociale, identitaire.C’est pour ça que j’ai lancé MM Magazine — un espace où je décrypte le Canada francophone sous toutes ses coutures, avec un œil d’observateur de terrain. Je parle de politique québécoise, d’enjeux identitaires, de climat, de société autochtone, de migrations, de culture populaire, et parfois même… de sirop d’érable (car oui, c’est sérieux ici).Ce qui me distingue ? Je suis aussi passionné de canotage traditionnel. L’été, je quitte les écrans pour glisser sur les rivières du Québec, pagaie en main. Le canot m’a appris à lire les courants, à respecter le rythme des saisons, à observer les détours avant de foncer. Une belle métaphore, finalement, pour comprendre la société canadienne d’aujourd’hui : des eaux calmes en surface, mais des mouvements profonds sous la ligne d’eau.📌 Ce que vous trouverez sur MM Magazine : – Des analyses d’actualité québécoise et canadienne, toujours contextualisées et accessibles aux lecteurs européens comme nord-américains – Des portraits de personnalités, d’artisans, d’élus ou de citoyens engagés – Des explorations géographiques et historiques pour mieux saisir les enjeux du territoire – Des clins d’œil aux pratiques culturelles, aux traditions et aux petits chocs culturels du quotidien – Un ton curieux, jamais donneur de leçons, toujours ancré dans la réalité du terrainJe crois qu’on ne comprend un pays qu’en acceptant de se laisser surprendre par ses nuances. Si vous voulez découvrir le Québec et le Canada autrement qu’en carte postale, bienvenue dans MM Magazine.

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