dimanche 22 juin 2025
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Ludovic Delion : pourquoi le bitcoin est la cryptomonnaie la plus fiable

Depuis quelques années, les cryptomonnaies font beaucoup parler d’elles. Le bitcoin suscite l’intérêt de nombreux investisseurs. Ceux-ci jugent cette devise fiable et n’hésitent pas à l’adopter dans le cadre de leurs affaires. En effet, en plus d’assurer un énorme retour sur investissement, le bitcoin facilite les transactions et permet de maitriser l’inflation. De plus, il existe dans certains pays des lois pour l’encadrer.

Un retour sur investissement colossal

Si selon ludovic delion, le bitcoin est cryptomonnaie la plus fiable, c’est parce qu’il rapporte une plus-value conséquente. En effet, depuis l’avènement de la pandémie liée au coronavirus, le placement en bourse s’est progressivement substitué aux moyens classiques d’investissement. La monnaie électronique a pris le pas sur les transactions bancaires. Situé au sommet de la pyramide des cryptomonnaies, le bitcoin est devenu le moyen d’échange privilégié dans le cadre de l’achat et de la vente d’actions et valeurs des entreprises.

Ainsi, finit par émerger une catégorie d’investisseurs qualifiés d’ « additionnels ». Il s’agit d’entreprises de taille ayant pris la décision d’investir dans les cryptomonnaies. Leur intérêt pour cette option découle notamment du profit conséquent qu’elles peuvent en tirer sur les derniers mois. En effet, l’investissement sur le bitcoin est susceptible de rapporter jusqu’à 160% de taux d’intérêt comme l’explique Ludovic Delion.

Facilitation des transactions et maitrise de l’inflation

Depuis quelques années, les multinationales nourrissent un intérêt particulier pour le bitcoin. En effet, celui-ci a entrainé une certaine facilitation des transactions à l’international. Les transferts de fonds ne prennent désormais que quelques secondes. De plus, les frais prélevés sont insignifiants, comparés aux pourcentages exigés par les organismes bancaires.

Un grand nombre de sociétés commence à développer des outils de transaction employant la monnaie digitale. Grâce au fonctionnement décentralisé du bitcoin, les entreprises et particuliers peuvent désormais se passer des établissements bancaires. D’ailleurs, le public se méfie de ceux-ci lesquels depuis la crise de 2008.

Comparé aux monnaies classiques, le bitcoin possède un autre avantage souligne Ludovic Delion. Il ne peut être émis à l’infini au risque de créer une inflation susceptible d’affaiblir le pouvoir d’achat des ménages. Ainsi, cette devise peut être perçue comme un instrument permettant de maîtriser ce phénomène.

Au Venezuela, une étude du FMI a révélé que la monnaie locale pourrait connaître une inflation susceptible d’atteindre 1000 000%. Pour éviter cette situation, une grande partie de la population a adopté le bitcoin. Par ailleurs, le rétablissement des sanctions de l’Amérique contre l’Iran a incité certains organismes particuliers à se tourner vers les cryptomonnaies.

Une législation encadre désormais le bitcoin

Au sein de nombreux États, diverses mesures ont été adoptées pour relever efficacement les défis que le bitcoin a introduits dans l’univers financier. Bon nombre de pays comme la Suisse, Malte, ou le Liechtenstein œuvrent sans cesse afin de rendre leur fiscalité attractive. Certains dirigeants sont allés jusqu’à mettre en place une législation permettant d’encadrer l’utilisation des cryptomonnaies.

Ainsi, en France, une loi est mise en application depuis le 12 septembre 2018 afin de restreindre les ICO. Cet acronyme correspond à « Initial coin offering » et désigne en français une levée de fonds en crypto-monnaies souligne Ludovic Delion. Les entrepreneurs qui désirent recourir à cette méthode peuvent facilement y parvenir. Il leur suffit juste de posséder un visa optionnel. Ce document peut être retiré auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF).

 

Valentin
Je m’appelle Valentin Marchand, j’ai 33 ans, et je raconte le Québec et le Canada parce que j’ai décidé de m’y enraciner.Je suis géographe de formation et guide-accompagnateur à temps partiel, installé à Montréal depuis bientôt dix ans. J’ai traversé des forêts boréales, arpenté les ruelles du Plateau sous la neige, accompagné des visiteurs dans des coins de pays où même Google hésite encore. Mais avant tout, je suis un amoureux des récits de territoire. Derrière les paysages, il y a toujours une histoire : économique, sociale, identitaire.C’est pour ça que j’ai lancé MM Magazine — un espace où je décrypte le Canada francophone sous toutes ses coutures, avec un œil d’observateur de terrain. Je parle de politique québécoise, d’enjeux identitaires, de climat, de société autochtone, de migrations, de culture populaire, et parfois même… de sirop d’érable (car oui, c’est sérieux ici).Ce qui me distingue ? Je suis aussi passionné de canotage traditionnel. L’été, je quitte les écrans pour glisser sur les rivières du Québec, pagaie en main. Le canot m’a appris à lire les courants, à respecter le rythme des saisons, à observer les détours avant de foncer. Une belle métaphore, finalement, pour comprendre la société canadienne d’aujourd’hui : des eaux calmes en surface, mais des mouvements profonds sous la ligne d’eau.📌 Ce que vous trouverez sur MM Magazine : – Des analyses d’actualité québécoise et canadienne, toujours contextualisées et accessibles aux lecteurs européens comme nord-américains – Des portraits de personnalités, d’artisans, d’élus ou de citoyens engagés – Des explorations géographiques et historiques pour mieux saisir les enjeux du territoire – Des clins d’œil aux pratiques culturelles, aux traditions et aux petits chocs culturels du quotidien – Un ton curieux, jamais donneur de leçons, toujours ancré dans la réalité du terrainJe crois qu’on ne comprend un pays qu’en acceptant de se laisser surprendre par ses nuances. Si vous voulez découvrir le Québec et le Canada autrement qu’en carte postale, bienvenue dans MM Magazine.

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