mardi 15 juillet 2025
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Les prix de l’immobilier montent en Loire-Atlantique : pourquoi ?

Pour cette année 2021, l’immobilier dans la Loire-Atlantique connaît encore une ascension fulgurante. Les prix montent en flèche, car la demande est croissante pourtant, il y a moins de biens à proposer. Cette situation est accentuée par la crise sanitaire, et ça concerne tous types de bien (maisons anciennes, appartements neufs ou anciens, terrains prêts à bâtir…).

La Loire-Atlantique, le département le plus coûteux

L’empressement vers l’Ouest est en marche malgré les confinements, et la preuve avec la Loire-Atlantique qui devient le département le plus cher de la région Pays de la Loire, ça concerne la métropole de Nantes, le littoral ainsi que les secteurs ruraux. En effet, pour être propriétaire d’une maison ancienne par exemple, il faut avoir en moyenne dans les 250.000 euros, la hausse est de +9% sur l’année. C’est plus cher que dans les départements de Bretagne et deux fois plus que dans le Finistère qui est de 160.000 euros ainsi que les Côtes-d’Armor de 148.000 euros. Quoi qu’il en soit, la crise sanitaire et économique n’a pas empêché les Français dans leur projet d’acquérir un bien immobilier en Loire-Atlantique, et ce sont les maisons anciennes qui monopolisent les ventes, elles représentent plus de 16 % des transactions. En ce moment, notamment depuis la crise sanitaire, les citadins cherchent plus d’espace or, ce secteur souffre déjà d’un manque de biens immobiliers à vendre. Ils veulent également aller à la campagne qui est plus accessible, mais les prix montent. Syndic de copropriété Loire Atlantique est à votre disposition si vous êtes déjà un heureux copropriétaire.

Les lieux les plus prisés

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Crédits : Pixabay

Parmi les communes les plus chères de la Loire-Atlantique qui, en passant est le 10ème département le plus peuplé de l’Hexagone, il y a La Baule-Escoublac 482.500 euros, Sautron 422.500 euros, Nantes 420.800 euros, Sucé-sur-Erdre 385.000 euros, Basse-Goulaine 375.000 euros, Le Pouliguen 367500 euros et Le Pouliguen 367.500 euros. Notons également Treillières, Le Croisic, Haute-Goulaine, Thouaré-sur-Loire, Carquefou… Avec le télétravail et l’envie de calme et de la nature, les gens privilégient davantage la campagne, surtout les citadins. Ainsi, les petites villes même loin de la métropole connaissent une augmentation des prix des maisons suite à des années de stagnation. Il y a également le littoral et la côte, et les prix n’arrêtent pas de l’envoler, c’est même les plus élevés du département. En effet, les Français ne sont plus obligés de vivre dans le centre avec l’arrivée du télétravail, et c’est ce qui a également participé à l’augmentation des prix immobiliers en Loire-Atlantique.

Plusieurs raisons expliquent la hausse des prix de l’immobilier en Loire-Atlantique. Il y a avant tout le déséquilibre entre l’offre et la demande, on constate un manque de bien à vendre dans le département. La demande est forte, et ça contribue à tirer les prix vers le haut. Ensuite, notons le taux d’intérêt qui reste bas. C’était pendant les confinements que les Français ont réfléchi et affiné leur projet, et c’est ce qui a accéléré leur prise de décision. C’est certain, le département de la Loire-Atlantique gagne de plus en plus d’habitants tous les ans.

Valentin
Je m’appelle Valentin Marchand, j’ai 33 ans, et je raconte le Québec et le Canada parce que j’ai décidé de m’y enraciner.Je suis géographe de formation et guide-accompagnateur à temps partiel, installé à Montréal depuis bientôt dix ans. J’ai traversé des forêts boréales, arpenté les ruelles du Plateau sous la neige, accompagné des visiteurs dans des coins de pays où même Google hésite encore. Mais avant tout, je suis un amoureux des récits de territoire. Derrière les paysages, il y a toujours une histoire : économique, sociale, identitaire.C’est pour ça que j’ai lancé MM Magazine — un espace où je décrypte le Canada francophone sous toutes ses coutures, avec un œil d’observateur de terrain. Je parle de politique québécoise, d’enjeux identitaires, de climat, de société autochtone, de migrations, de culture populaire, et parfois même… de sirop d’érable (car oui, c’est sérieux ici).Ce qui me distingue ? Je suis aussi passionné de canotage traditionnel. L’été, je quitte les écrans pour glisser sur les rivières du Québec, pagaie en main. Le canot m’a appris à lire les courants, à respecter le rythme des saisons, à observer les détours avant de foncer. Une belle métaphore, finalement, pour comprendre la société canadienne d’aujourd’hui : des eaux calmes en surface, mais des mouvements profonds sous la ligne d’eau.📌 Ce que vous trouverez sur MM Magazine : – Des analyses d’actualité québécoise et canadienne, toujours contextualisées et accessibles aux lecteurs européens comme nord-américains – Des portraits de personnalités, d’artisans, d’élus ou de citoyens engagés – Des explorations géographiques et historiques pour mieux saisir les enjeux du territoire – Des clins d’œil aux pratiques culturelles, aux traditions et aux petits chocs culturels du quotidien – Un ton curieux, jamais donneur de leçons, toujours ancré dans la réalité du terrainJe crois qu’on ne comprend un pays qu’en acceptant de se laisser surprendre par ses nuances. Si vous voulez découvrir le Québec et le Canada autrement qu’en carte postale, bienvenue dans MM Magazine.

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