dimanche 15 juin 2025
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David Mercier : les missions des directeurs généraux des services

Le métier de Directeur Général des Services, de son adjoint (DGA) ou celui du Directeur Général des établissements publics locaux intercommunaux incarnent le champ managérial, mais aussi la dimension stratégique des collectivités territoriales. En réalité, tous ces postes appartiennent au cadre d’emploi des attachés ou des administrateurs. Dans cet article, nous allons parler de l’un de ces postes, le DGS. David Mercier DGS, Directeur Général des Services dans le département de l’Eure va expliquer à quoi consiste le métier de DGS ? Quelles sont les étapes à suivre pour le devenir ? Et quelles sont ses différentes missions ?

Le métier de DGS par David Mercier DGS

Selon David Mercier DGS Eure, le métier d’un DGS est très complexe. C’est à fois un rôle, une posture, mais aussi un positionnement. Le DGS est un membre de la direction générale. Il est en étroite collaboration avec l’élu local. Dans son travail, il a comme mission principale de coordonner les services pour la mise en œuvre des projets de la collectivité dans laquelle il exerce. Selon le décret n° 87-1101 du 30 décembre 1987, le Directeur Général des Services des établissements publics ou des communes constituent une fonction de catégorie A. Et en général, le métier se distingue en plusieurs fonctions. Il y a par exemple le DGS des communes (+ de 2 000 habitants), le DGA des services des communes (+ de 10 000 habitants), le DGS des départements, le DGS des régions, etc. Toujours selon David Mercier DGS, le DGS doit apporter différentes expertises pour contribuer au développement de sa collectivité. Outre l’expertise administrative, il faut aussi une expertise juridique et une expertise financière. Ces dernières seront d’une importance capitale dans la définition des objectifs stratégiques, mais aussi dans l’élaboration des projets municipaux. Pour en savoir davantage sur ce métier, d’autres informations sont consultables sur le site Google. Maintenant, la question est de savoir quelles sont les missions d’un DGS ?

Les différentes missions d’un DGS

David Mercier DGS
Crédit : Pixabay

Comme cité ci-haut, le Directeur Général des Services contribue au développement local. Et pour y arriver, il doit accomplir certaines tâches. Il faut savoir que le DGS sera le premier responsable de l’ensemble des services techniques et administratifs. Il a comme mission de les coordonner, les organiser et les moderniser. Il devra également animer le comité de direction et communication. Selon ceux qui ont déjà occupé ce poste, le métier de DGS requiert une large autonomie dans la définition des priorités d’actions, mais aussi dans la mise en œuvre des orientations. Il faut également qu’il y ait une confiance entre le DGS et l’autorité territoriale puisqu’il prend part aux choix tactiques, stratégiques et organisationnels. En ce qui concerne les compétences, le métier demande une bonne qualité relationnelle, un sens de l’organisation, une disponibilité et une autonomie. Aussi, il faut qu’il ait des connaissances juridiques, administratives et budgétaires. En somme, il faut une personne polyvalente. Pour aspirer à devenir DGS, il faut au minimum avoir un Bac +3. Et le recrutement se fait via un concours ou un recrutement direct.

Valentin
Je m’appelle Valentin Marchand, j’ai 33 ans, et je raconte le Québec et le Canada parce que j’ai décidé de m’y enraciner.Je suis géographe de formation et guide-accompagnateur à temps partiel, installé à Montréal depuis bientôt dix ans. J’ai traversé des forêts boréales, arpenté les ruelles du Plateau sous la neige, accompagné des visiteurs dans des coins de pays où même Google hésite encore. Mais avant tout, je suis un amoureux des récits de territoire. Derrière les paysages, il y a toujours une histoire : économique, sociale, identitaire.C’est pour ça que j’ai lancé MM Magazine — un espace où je décrypte le Canada francophone sous toutes ses coutures, avec un œil d’observateur de terrain. Je parle de politique québécoise, d’enjeux identitaires, de climat, de société autochtone, de migrations, de culture populaire, et parfois même… de sirop d’érable (car oui, c’est sérieux ici).Ce qui me distingue ? Je suis aussi passionné de canotage traditionnel. L’été, je quitte les écrans pour glisser sur les rivières du Québec, pagaie en main. Le canot m’a appris à lire les courants, à respecter le rythme des saisons, à observer les détours avant de foncer. Une belle métaphore, finalement, pour comprendre la société canadienne d’aujourd’hui : des eaux calmes en surface, mais des mouvements profonds sous la ligne d’eau.📌 Ce que vous trouverez sur MM Magazine : – Des analyses d’actualité québécoise et canadienne, toujours contextualisées et accessibles aux lecteurs européens comme nord-américains – Des portraits de personnalités, d’artisans, d’élus ou de citoyens engagés – Des explorations géographiques et historiques pour mieux saisir les enjeux du territoire – Des clins d’œil aux pratiques culturelles, aux traditions et aux petits chocs culturels du quotidien – Un ton curieux, jamais donneur de leçons, toujours ancré dans la réalité du terrainJe crois qu’on ne comprend un pays qu’en acceptant de se laisser surprendre par ses nuances. Si vous voulez découvrir le Québec et le Canada autrement qu’en carte postale, bienvenue dans MM Magazine.

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